La figure s'intitule « Connaissance de l'utilisation de la carte d'information de l'électeur ». Elle comprend un diagramme à secteurs et un diagramme à barres.

Le diagramme à secteurs illustre la répartition des réponses à la question « Saviez-vous que pendant l'élection générale de mai 2011, les électeurs vivant dans votre secteur pouvaient utiliser leur carte d'information de l'électeur comme preuve d'identité et d'adresse? ». Parmi les 796 répondants qui étaient au courant des exigences en matière d'identification qu'il fallait respecter pour voter, 73 pour cent ont indiqué qu'ils savaient que les électeurs de leur secteur pouvaient utiliser leur carte d'information de l'électeur comme preuve d'identité et d'adresse, tandis que 27 pour cent ont dit qu'ils ne le savaient pas.

Le diagramme à barres illustre la répartition des réponses à la question « Comment avez-vous appris que vos résidents pouvaient utiliser leur carte d'information de l'électeur comme preuve d'identité et d'adresse? ». Les 586 répondants qui savaient que la carte d'information de l'électeur pouvait servir de preuve d'identité et d'adresse ont indiqué l'avoir appris comme suit :

• 44 pour cent l'ont appris de quelqu'un à Élections Canada (général);
• 19 pour cent l'ont appris au moyen de la carte d'information de l'électeur;
• 13 pour cent l'ont appris dans une brochure ou un dépliant d'Élections Canada ou bien sur son site Web;
• 11 pour cent l'ont appris d'un directeur du scrutin;
• 3 pour cent l'ont appris d'un agent réviseur;
• 3 pour cent l'ont appris d'un agent de relations communautaires;
• 3 pour cent l'ont découvert en écoutant les nouvelles, la télévision ou la radio, ou bien en lisant le journal;
• 1 pour cent l'ont appris d'un directeur adjoint du scrutin;
• 1 pour cent l'ont appris d'un travailleur électoral ou lors du scrutin;
• 1 pour cent l'ont appris grâce au bouche-à-oreille;
• 1 pour cent l'ont appris de quelqu'un de la communauté (pas d'Élections Canada);
• 1 pour cent l'ont appris d'un employé ou d'une personne au siège social (c'est-à-dire une personne appartenant à l'organisation, mais pas à Élections Canada);
• 3 pour cent l'ont appris d'une autre source;
• 10 pour cent ne le savaient pas ou n'ont pas répondu.