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Enquête sur l'évaluation du programme PAJA - 40e élection générale


Faits saillants

  • Toutes les provinces canadiennes sont représentées dans cette étude. Cependant, aucun répondant du Yukon et de Western Arctic n'y a participé.
  • Les répondants de la Saskatchewan, du Manitoba, du Québec et de Terre-Neuve sont les plus nombreux, alors que le pourcentage de répondants de la Colombie-Britannique a connu une chute marquée par rapport à la 39e élection générale, qui a eu lieu en 2006.
  • Huit répondants sur dix sont des Indiens inscrits, par rapport à 91 pour cent d'entre eux en 2006.
  • Plus de la moitié des répondants sont des jeunes (53 %), l'autre moitié étant composée d'aînés (47 %).
  • La moitié de ceux qui ont répondu au sondage et participé au programme PAJA (51 %) ont été recrutés par un agent de relations communautaires. Le quart d'entre eux (26 %) ont été recruté par le directeur du scrutin, alors que 11 pour cent d'entre eux ont été recrutés par les chefs/conseils de bande.
  • Globalement, 85 pour cent des personnes interrogées participaient pour la première fois au programme PAJA. Ceux qui avaient déjà participé au PAJA l'ont fait à l'occasion de l'élection de 2006.
  • En moyenne, ceux qui ont assisté les électeurs ont aidé 15 personnes. Par rapport à la 39e élection générale, un pourcentage plus important de répondants n'ont assisté aucun électeur (20 % en 2008 contre 11 % en 2006).
  • De façon générale, six répondants sur dix ont participé à une séance de formation. Ce ratio est plus élevé dans les provinces affichant un plus fort pourcentage de novices. La rétroaction fournie par les répondants nous laisse croire que les séances de formation étaient réussies, intéressantes, informatives et utiles. Cependant, un répondant sur cinq a considéré que les séances de formation étaient inadéquates et lourdes.
  • Le quart des personnes interrogées ont dû répondre d'un électeur ne possédant pas de documents d'identification en règle.
  • Les participants ont été invités à effectuer plusieurs tâches. Généralement, nous avons constaté une baisse de la fréquence à laquelle ces individus devaient servir de liaison entre les responsables du scrutin et les électeurs, aider les électeurs à lire, interpréter ou encore traduire les bulletins de vote.
  • Une forte majorité de répondants (94 %) ont jugé que le programme était utile, en ce qu'il aide à créer un environnement accueillant pour les électeurs autochtones.
  • Quand on leur a demandé si le programme aidait les électeurs autochtones à comprendre les procédures de vote, 89 pour cent d'entre eux ont répondu par l'affirmative. Ceux qui considèrent que le programme n'était pas utile à cet égard ont indiqué que la plupart des électeurs étaient déjà au courant des procédures de vote.
  • Les répondants ont cité trois améliorations principales à réaliser : A) La possibilité de profiter d'une formation et de séances d'information plus étendues et de meilleure qualité, B) Faire en sorte que les jeunes et les aînés travaillent de concert et C) Faire davantage de publicité et diffuser plus d'informations aux électeurs.