Sondage d'opinion à la suite de l'élection partielle du 19 mars 2012 dans la circonscription de Toronto–Danforth (Ontario)
Participation électorale
La présente section présente la rétroaction des répondants au sujet d'enjeux liés à la participation électorale.
La plupart des répondants ont voté au bureau de scrutin le jour de l'élection
La grande majorité (80 %) des répondants affirmant avoir voté lors de l'élection partielle disent avoir voté au bureau de scrutin le jour de l'élection. Suite à cela, 17 % des personnes interrogées affirment avoir voté par anticipation, tandis que dans une proportion de 2 %, les répondants qui ont voté l'ont fait au bureau local d'Élections Canada.
Ces résultats sont identiques à ceux observés à la suite de l'élection générale fédérale de 2011.
Description du graphique « Moyen de voter »
Différences sociodémographiques
Les sous-groupes suivants se sont révélés plus susceptibles de signaler avoir voté au bureau de scrutin, le jour de l'élection : les répondants ayant fait des études de niveau collégial (90 %), les électeurs de moins de 25 ans (93 %), de même que les étudiants (96 %).
Près de la moitié des répondants était au courant du vote par la poste
Un peu plus de quatre répondants sur dix (44 %) se disent au courant de la possibilité de voter par la poste, en tout temps, lors d'une élection fédérale, alors que 55 % des personnes interrogées ne le savaient pas.
Le résultat témoignant de la connaissance du vote par la poste est pratiquement identique à celui observé suite à la dernière élection générale (43 %).
Description du graphique « Connaissance du vote par la poste »
Différences sociodémographiques
La probabilité de savoir qu'il est possible de voter par la poste est plus forte chez les étudiants (59 %).
L'exercice du vote est tenu pour facile
Les personnes ayant voté sont très peu nombreuses à indiquer que l'exercice du vote s'est révélé difficile. Au contraire, c'est pratiquement l'ensemble de ces répondants qui affirment que l'expérience du vote s'est révélée très facile (89 %) ou assez facile (9 %). Néanmoins, 3 % des répondants estiment qu'il n'est pas facile de voter. Dans l'ensemble, ces résultats sont semblables à ceux découlant de l'étude sur l'élection générale de 2011, dans le cadre de laquelle la plupart des électeurs avaient affirmé que l'exercice du vote étaient très facile (92 %) ou assez facile (7 %).
Description du graphique « Le vote – facilité perçue »
Différences sociodémographiques
Les étudiants (82 %), les électeurs ayant fait des études de niveau collégial (81 %) et les électeurs dont le revenu du ménage est inférieur à 40 000 $ (80 %) sont moins susceptibles d'estimer que l'exercice du vote était très facile.