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Sondage d'opinion à la suite de l'élection partielle du 19 mars 2012 dans la circonscription de Toronto–Danforth (Ontario)

Connaissance de l'élection partielle

La présente section porte sur la mesure dans laquelle les électeurs admissibles étaient au courant de la tenue de l'élection partielle.

Connaissance répandue de l'élection partielle

C'est pratiquement l'ensemble des électeurs admissibles (96 %) qui affirment qu'ils étaient au courant de la tenue d'une élection partielle, dans leur circonscription, le 19 mars 2012. Ce résultat rappelle la proportion de répondants au courant de la tenue d'une élection générale en 2011 (98 %).

Différences sociodémographiques

Les électeurs admissibles nés au Canada se sont révélés plus enclins à se dire au courant de l'élection partielle (dans une proportion de 98 % c. 91 % des électeurs nés à l'étranger). Par ailleurs, les répondants ayant fait tout au plus des études secondaires se sont révélés moins susceptibles d'être au courant de la tenue de l'élection partielle que les répondants détenant un grade universitaire (91 % c. 97 %). La probabilité d'être au courant de l'élection partielle augmente en fonction du revenu du ménage, passant de 90 % des répondants dont le revenu du ménage s'établit en dessous de 40 000 $, à 99 % des répondants dont le revenu s'élève à au moins 100 000 $ par année.

Les médias traditionnels – principales sources d'information au sujet de l'élection partielle

Concernant la façon dont ils ont entendu parler de l'élection partielle du 19 mars, les répondants signalent le plus souvent des médias traditionnels. C'est ainsi que la télévision arrive en tête de liste des sources d'information mentionnées (45 %), suivie des journaux (41 %) et, avec un certain recul, de la radio (26 %). En outre, près du tiers des répondants font état d'un type d'affiches, qu'il s'agisse des affiches des candidats ou des partis (28 %) ou d'affiches sur l'élection en général (4 %).

C'est en nombres nettement moins importants que les électeurs admissibles font état des autres sources signalées, qui comprennent le dépliant ou la brochure d'Élections Canada (c.-à-d. la brochure/carte de rappel) (16 %), le bouche-à-oreille (15 %), ainsi que la carte d'information de l'électeur (14 %). En proportions relativement faibles (s'établissant tout au plus à 8 %), les répondants ont entendu parler de l'élection partielle au moyen de l'Internet (8 %), d'appels téléphoniques (6 %) ou de dépliants ou brochures non précisés (4 %), grâce à leur expérience ou à leur connaissance préalable (2 %) ou suite à une visite de porte-à-porte (2 %).

Sources d'information au sujet de l'élection partielle
Description du graphique « Sources d'information au sujet de l'élection partielle »

Différences sociodémographiques

Les journaux sont signalés plus souvent par les électeurs plus âgés (47 % des personnes de 45 ans ou plus), de même que par les répondants à la maison à plein temps (dans une proportion de 50 %, comparativement à 41 % des personnes ayant un emploi). Les électeurs dont le revenu du ménage est inférieur à 40 000 $ se sont révélés moins enclins à avoir pris connaissance de la tenue de l'élection partielle dans un journal. Les électeurs plus âgés (28 % des répondants de 45 à 64 ans et 27 % des répondants de 65 ans ou plus), les répondants titulaires d'un grade universitaire (32 %), de même que les répondants dont le revenu du ménage s'élève à au moins 100 000 $ (32 %) se sont révélés plus susceptibles d'avoir entendu parler de l'élection partielle à la radio.